Les acteurs sont choisis, les décors sont en place, les courageux réalisateurs ont pris le film à leur compte,... alors allumez les projecteurs, les tournages peuvent commencer... et la filmographie s’épaissir au fil du cumul des oeuvres.

Mais avant çà, essayons d’y voir clair dans cet amalgame de genres, au fil des époques.

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La chronologie des différentes étapes

8-1-8- La Hammer Films et le cinéma italien

LA HAMMER FILMS

Rappelée pour mémoire, puisque déjà mentionnée dans l’ouvrage (§ 7-4:Hammer film), elle apporta pendant vingt ans, par la couleur, l’écran panoramique et ses reprises inoubliables, cette touche de cinéma faisant parfaitement la liaison avec les années 70, en toute osmose avec les années 60, auxquelles elle adhère par ailleurs de toute sa surface.

LES VAMPIRES	CALTIKI,LE MONSTRE IMORTEL	LE GEANT DE THESSALIE
RICCARDO FREDA	RICCARDO FREDA	RICCARDO FREDA
LE BARON VAMPIRE	LE MASQUE DU DEMON	LES TROIS VISAGES DE LA PEUR
MARIO BAVA	MARIO BAVA	MARIO BAVA

LE CINEMA ITALIEN

Parallèlement, apparaissent deux réalisateurs Italiens, qui laisseront plus qu’un souvenir de leur passage. Le premier Riccardo FREDA, signe Les vampires (1957), puis Le monstre immortel/caltiki (1959), L’effroyable secret du Dr Hitchcock (1962) et Le spectre du professeur Hichcock (1964) en collaboration avec Mario BAVA. Celui-ci signe seul Le masque du démon, Les trois visages de la peur (1963), Six femmes pour l’assassin et Le corps et le fouet (1964). Le « giallo » était né, et devait marquer cette époque.